" Je vous coupe les queues, a dit la marchande de fruits et légumes sérée à déborder dans son corsage. J'ai été tenté de répondre que j'en avais qu'une et ne tenais pas à ce que m'on la coupe, je n'ai pas osé. Enfonçant dans mon sac Francprix mes poireaux équetés, j'ai dit merci. Pas facile de se comporter en mec vulgaire et marrant quand on a pas l'habitude. Quand on est considéré comme un homme serieux et bien élevé. "
Laisser cet article comme ça, ça aurait été de la mauvaise foi pure. Au moins je sais. C'est seulement moi, je le sais maintenant. D'accord, j'arrête.